Marcel a lu « Un avion sans elle », le roman de Michel Bussi sorti en 2012 (le poisson n’est pas du touuuut en retard 😛). Un livre idéal pour les vacances ou les journées ensoleillées farniente.
Le pitch
« 23 décembre 1980. Un crash d’avion dans le Jura. Une petite libellule de 3 mois tombe du ciel, orpheline. Deux familles que tout oppose se la disputent. La justice tranche : elle sera Emilie Vitral. Aujourd’hui, elle a 18 ans, la vie devant elle mais des questions plein la tête. Qui est-elle vraiment ?
Dix-huit ans que Crédule Grand-Duc, détective privé, se pose la même question. Alors qu’il s’apprête à abandonner, la vérité surgit devant ses yeux, qu’il referme aussitôt, assassiné.
Il ne reste plus qu’un vieux carnet de notes, des souvenirs, et Marc, son frère, pour découvrir la vérité… »
L’auteur
Michel Bussi écrit depuis 1990 alors qu’il était professeur de géographie à l’université de Rouen. En 2016, il publie « Code lupin », réédité 9 fois ensuite (source Wikipédia). Les ventes de ses premiers romans s’envolent. Mais c’est avec « Un avion sans elle » qu’il devient vraiment connu du grand public. Depuis, il a publié de nombreux romans à succès dont « Ne lâche pas ma main », « N’oublier jamais » et « Maman a tort » (que le poisson ajoute à sa PAL).
En janvier 2017, il est, selon le classement GFK-Le Figaro, le deuxième écrivain français en nombre de livres vendus, derrière Guillaume Musso avec plus d’un million d’exemplaires vendus.
Au cours de sa carrière, il a déjà reçu de nombreux prix dont le « Prix Maison de la Presse » ainsi que le Prix du Roman Populaire en décembre 2012 pour « Un avion sans elle ».
L’avis du poisson
Depuis longtemps dans sa PAL (pile de livres à livres), Marcel l’a enfin sorti de l’étagère de son bocal. À l’époque où il avait acheté ce bouquin, il se souvient (malgré sa mémoire parfois défaillante) l’avoir choisi notamment pour son titre qui l’avait intrigué. Il le trouvait poétique et plein de promesses.
Il ne s’est pas trompé car il l’a beaucoup aimé ! Il a très vite plongé la tête la première dans l’intrigue qu’il a trouvée passionnante (celui lui a valu une courte nuit pour connaitre la fin – courte nuit qu’il ne regrette pas).
Le style est simple, c’est un romain qui se lit facilement. On oscille entre des parties narratives et la lecture du journal intime du détective privé. Malgré quelques longueurs et des personnages parfois caricaturaux, Marcel a adoré le dénouement qu’il a trouvé surprenant et bien trouvé.
Il ne vous en dit pas plus mais vous invite à découvrir, si ce n’est pas déjà fait, ce romain, classé polar, mais que l’agité du bocal juge plutôt « policier » car les amateurs du genre pourraient être déçus tant la psychologie des personnages n’est pas très poussée ni développée.