Chaque année, c’est la même excitation à l’annonce de la nouvelle saison dans Les Théâtres. Le poisson se demande toujours ce que Dominique Bluzet, le directeur, nous réserve comme surprises et comme découvertes. Cette année ne déroge pas à la règle : c’est encore une belle saison qui se présente ! Difficile de faire son choix dans les nombreuses propositions ! Marcel vous présente brièvement quelques points forts et vous annonce les 38 (il n’a pas réussi à faire moins !) spectacles qu’il aimerait découvrir (et qu’il vous conseille).
Pour rappel, « Les Théâtres », c’est 4 théâtres : Théâtres du Gymnase-Bernardines à Marseille, Jeu de Paume et Grand Théâtre de Provence à Aix-en-Provence. Vous le savez, l’agité du bocal aime beaucoup ces structures et les fréquente très régulièrement.
Ces 4 théâtres présentent une diversité de propositions : Théâtre, Musique, Danse, Jazz, Humour… Il y en a pour tous les goûts ! Au total, cette nouvelle saison, ce sera plus d’une centaine de spectacles et près de 300 levers de rideau.

© Les Théâtres
Les Théâtres Gymnase-Bernardines seront l’épicentre de la création avec cinq festivals emblématiques de Marseille sans compter le célèbre Festival de Pâques, à Aix-en-Provence. Le rendez-vous des amoureux de la musique classique fêtera sa sixième édition du 26 mars au 8 avril 2018. Le poisson aura l’occasion de vous en parler lorsque la programmation sera dévoilée (en principe, aux mois de septembre-octobre).
Les Théâtres, c’est aussi une « maison de production » : ils continuent d’apporter leur soutien à huit jeunes metteurs en scène. Quatre d’entre eux sont programmés cette saison. On comptera douze spectacles en coproduction, des artistes en résidence et des productions en tournée.

© Les Théâtres
Enfin, les Théâtres nous donneront rendez-vous, comme chaque saison, avec plusieurs Temps Forts qui viendront rythmer cette programmation tout au long de l’année : un festival jeune public pendant les vacances de la Toussaint et Noël pour célébrer la fin d’année et la magie de noël et « MP18 – Quel Amour ! » notamment. Marcel vous reparlera de ce temps fort qui sera commun à plusieurs structures culturelles qui ont souhaité réitérer un « Marseille-Provence 2013 – Capitale européenne de la Culture », en plus petit.

© Les Théâtres
- Le tarif enfant jusqu’à 18 ans
- L’abonnement tribu, intégrant les enfants jusqu’à 18 ans
- La carte 18-30 ans
Pour les réservations :
- ouverture des abonnements ce vendredi 26 mai à 11h
- ouverture des places à l’unité le 10 juillet

© Les Théâtres
La sélection de Marcel
Trêve de blablas, découvrez à présent la sélection de spectacles que le poisson aimerait voir (et vous conseille), choisis dans la brochure :
« Je n’aime pas le classique, mais avec Gaspard Proust j’aime bien ! »
14 – 16 septembre 2017 au Grand Théâtre de Provence
Musique classique
« Gaspard Proust transporte ce phénomène du disque à la scène. Après le triomphe de son Nouveau Spectacle (vu au Gymnase au printemps 2015), il présente et commente les plus belles oeuvres du répertoire classique avec son humour corrosif et désacralise un peu plus la musique classique. »
Le poisson aime beaucoup l’humour noir et politiquement incorrect de Gaspard Proust. Il est curieux de découvrir ce spectacle, de musique cette fois.
« La Cantatrice chauve » – d’Eugène Ionesco avec Romane Bohringer
26 – 30 septembre 2017 au Jeu de Paume
« Des phrases courtes, insensées et décousues, des clichés donnant ensemble un dialogue totalement loufoque. (…) Le résultat est désopilant et ça n’a pas pris une ride. »
Pourquoi ce choix ? Parce que c’est un grand classique du Théâtre de l’Absurde et que Marcel aime beaucoup la comédienne Romane Bohringer (vu dans « J’avais un beau ballon rouge » en 2013).

© William Pestrimaux
« Spectral Evidence, La Stravaganza – Les pièces de New York » – Ballet Preljocaj
19 – 21 octobre 2017 au Grand Théâtre
Danse
Deux pièces marquantes du répertoire d’Angelin Preljocaj, créées pour le New-York City Ballet, à découvrir enfin à Aix.
Vous le savez maintenant (ou pas), le poisson apprécie beaucoup le travail d’Angelin Preljocaj. En tout cas, ces derniers spectacles qu’il a eus l’occasion de découvrir à Aix ou Marseille. Il est curieux de découvrir son travail datant de maintenant de 17 ans.

Spectral – © Jean-Claude Carbonne
« Vingt mille lieues sous les mers » – Les Percussions Claviers de Lyon
Musique – Jeune public
24 – 25 octobre 2017 aux Bernardines
« Les Percussions Claviers de Lyon proposent une immersion totale dans l’univers fantastique et le roman de Jules Verne, le plus épique qui mêle aventure et rebondissements.
De La Mer de Debussy à des compositions de Dukas, Roussel ou Saint-Saëns, les grandes pages de la musique classique, parfois tonitruantes, menaçantes ou envoûtantes, accompagnent les aventures du capitaine Nemo et de son Nautilus.Les musiciens, grâce à l’ingénieuse mise en scène d’Emmanuelle Prager, apparaissent puis disparaissent au milieu des images aquatiques, et amplifient le mystère et la puissance de l’oeuvre de Jules Verne. »
Marcel, en tant qu’ancien batteur-percussionniste ne pourra pas passer à côté de ce rendez-vous 😉 (qui lui redonnera certainement l’envie de reprendre ses baguettes !)
- © Louise Kelh
« Vaille que Vivre (Barbara) » – Alexandre Tharaud, Juliette Binoche
25 octobre 2017 au Grand Théâtre
Spectacle musical
« Un hommage pudique et plein de poésie. 2017. Vingt ans après sa mort, le succès de Barbara est toujours bien vivant lui. Et son héritage immense. Juliette Binoche prête sa voix céleste et donne chair aux textes de celle qui marqua le patrimoine français de sa voix blanche. Alexandre Tharaud est un des plus grands pianistes actuels. »
Marcel ne connait pas le répertoire de Barbara mais il aime beaucoup le jeu de Juliette Binoche et d’Alexandre Tharaud. C’est donc l’occasion idéale pour découvrir la chanteuse de l’Aigle Noir.

© Gilles Vidal
« Dans la solitude des champs de coton » – Bernard-Marie Koltès, Charles Berling
08 – 10 novembre 2017 au Gymnase
Théâtre
« Un affrontement sado-maso poétique écrit dans une langue flamboyante et parfaitement interprétée par Charles Berling et Mata Gabin, tout en rudesse et fragilité. »
L’agité du bocal aime bien l’acteur Charles Berling. Ce spectacle l’intrigue.
02 – 03 novembre 2017 au Jeu de Paume
Danse Famille, à partir de 8 ans
« La scène devient plateau de danse, respectant les règles du hasard et des choix d’un jeune public ravi et vite survolté. Devant et avec les enfants, la danse se construit à la manière d’un jeu. (…) Quatre danseurs sont assis sur des chaises, tandis qu’apparaissent les couleurs définissant chaque zone du plateau sur laquelle ils devront évoluer. Les danseurs se lèvent, et vont présenter aux jeunes spectateurs les cartes qu’ils tirent au sort. A eux de faire des choix sur la chorégraphie, le nombre de danseurs et l’espace dans lequel ils devront évoluer. Le rythme est rapide, les danseurs obéissants, les enfants exigeants ; ils peuvent aussi faire des choix de lumière, de costumes, de son… »

© Nina-Flore Hernandez
« Un Poyo Rojo » – Luciano Rosso, Nicolás Poggi
« Un chef-d’œuvre burlesque et déjanté à la croisée du théâtre, de la danse et de la performance qui se joue à guichets fermés depuis dix ans en Argentine et en Europe. (…) La chorégraphie écrite au millimètre se partage la partition avec des séquences improvisées. Ces deux coquelets aux mollets nerveux et au cœur tendre mettent du corps à l’ouvrage pour interroger la nature primitive de nos désirs. Du spectacle bien vivant. »
« Dancing Grandmothers » – Eun-Me Ahn
Danse à partir de 7 ans
« Un tourbillon d’énergie porté par 9 danseurs et… quinze vieilles dames qui ont inspiré le nom du spectacle. (…) La chorégraphe Eun-Me Ahn, surnommée la « Pina Bausch Coréenne », en quête de la mémoire de son pays, est allée à la rencontre de grands mères dans les provinces rurales de Corée du Sud et leur a demandé de danser pour elle sur les tubes de leurs jeunes années. «Leurs danses étaient si naturelles et vivantes qu’elles ont entraîné dans leur mouvement les jeunes danseurs professionnels de ma compagnie. » dit la chorégraphe. Résultat : un spectacle à l’énergie communicative, émouvant et drôle. »
Ce spectacle a l’air déjanté ! Marcel est curieux de voir ça !

© Young-Mo Cheo
« Diwan of Beauty & Odd » – Dhafer Youssef
13 novembre 2017 au Grand Théâtre
Musique du Monde / Jazz
« Maître de l’oud, vocaliste extraordinaire et compositeur tunisien, Dhafer Youssef est issu d’une longue lignée de muezzins. La maîtrise de la performance vocale est pour lui un héritage. (…) Nourrie de traditions soufies, de lyrisme arabe, d’influences multiculturelles et d’une instrumentation puisée dans le jazz et l’improvisation, sa musique est toujours un voyage, bien souvent conçue comme la musique d’un film qu’il aurait lui-même imaginé. Et sa voix, hypnotique nous soulève par l’ardeur de sa mystique. En 2016, il revient sur scène avec un nouvel album, enregistré avec la fine fleur du jazz new-yorkais. L’un des plus grands moments jazz de cette saison. »

© Flavien Prioreau
« L’Enfant cachée dans l’encrier » – Joël Jouanneau
14 novembre 2017 au Jeu de Paume
Théâtre à partir de 7 ans
« Ellj passe ses grandes vacances dans le château de son père, un grand amiral toujours absent. Un jour, il entend la voix d’une petite soeur inconnue cachée dans un encrier et qui lui demande de la délivrer. Ellj largue alors les amarres. Le plateau devient radeau, île déserte, banquise, continent où se lèvent les tempêtes et meurent les soleils. Et soudain un petit air de flûte qui raconte l’attente et l’ennui d’Ellj pendant le sommeil d’Annj, la petite fille inuite, dans son lit d’enfant-cercueil-pendule-canot ».
Marcel aime l’univers de Jouanneau, reconnaissable et parfois un peu sombre (respectez bien l’âge conseillé, cela peut effrayer les plus jeunes). Il mord donc à l’hameçon pour découvrir ce nouveau spectacle.

© Raphaël Arnaud
« Palestro » – Aziz Chouaki, Bruno Boulzaguet
21 – 25 novembre 2017 aux Bernardines
Théâtre
« A ton âge, j’étais là-bas, à la guerre… », suivi d’un silence insondable et opaque… Le ton intimiste de Bruno Boulzaguet, le metteur en scène, donne d’emblée la teneur pudique et confidentielle de la pièce qu’il met en scène, loin de tout voyeurisme ou polémique de mauvais aloi. Le 18 mai 1956, une compagnie de vingt et un jeunes soldats français tombe dans une embuscade à Palestro, dans les montagnes de Kabylie. Un massacre, un seul survivant. (…) En représailles, l’armée française tue cinq mille algériens et surtout légitime l’utilisation de la torture comme moyen de renseignement. En dehors des historiens, quelques films, quelques livres, trop rares encore puisent leur inspiration dans cette guerre, au sens propre innommable. Parce que les fils héritent des guerres de leurs pères, Bruno Boulzaguet a co-écrit le texte avec un autre fils, l’algérois Aziz Chouaki. Construit en plusieurs tableaux, utilisant tous les ressorts du spectacle, texte, marionnettes, objets détournés, film, archives, musique, les comédiens subliment le documentaire dans la poésie du vraisemblable. (…) Un rendez-vous avec notre histoire. »
Toujours très intéressé par l’histoire de la guerre d’Algérie, le poisson ne manquera pas cette pièce qui promet d’être émouvante.

© Alain Richard
« Julie Victor fait ce qu’elle veut »
28 novembre – 02 décembre 2017 aux Bernardines
Humour/Music-hall
« Un tour de chant et d’humour bourré de charme. Pétillant garanti. » (…) Dans ce spectacle, accompagnée au piano, elle mêle le rire, le chant et la comédie. De sa Normandie natale à son grand loft parisien de sept mètres carré, avec un passage remarqué à l’Eurovision, Julie raconte, chante, dit des bêtises, souvent tout à la fois et à un train d’enfer. Et si sa fraîcheur et sa joie de vivre pourtant contagieuses vous laissent perplexe, vous succomberez à sa fantaisie et son exceptionnelle qualité vocale qui lui ont valu de jolies louanges à Paris, en tournée et au Festival d’Avignon en 2016. »
Marcel ne connait pas du tout cette artiste mais la description lui donne l’eau à la bouche.

01 – 02 décembre 2017 au Gymnase
Seule en scène
« Analyse générationnelle acerbe sous forme de journal intime déjanté, mêlant vraie angoisse et autodérision, le spectacle de Nora Hamzawi fait du bien comme du bon vin. (…) Avec un débit effréné, beaucoup de mauvaise foi et un ton acide, Nora décortique son quotidien avec un sens obsessionnel du détail, assumant ses névroses et taquinant celles de son public. (…) Crue, drôle mais sans naïveté ni dédain, elle parle avec son temps. En 2014, elle tient une chronique dans le Grand Journal de Canal Plus et dans On va tous y passer sur France Inter. »
Depuis le temps que le poisson en entend du bien, il va pouvoir enfin se faire son propre avis !
- © Sylvain Norget
« Les Bas-fonds » – de Maxime Gorki, mise en scène Éric Lacascade
« Biophony & Sand » – Alonzo King, LINES Ballet
Danse
« William Forsythe dit de lui qu’il est « l’un des rares maîtres de ballet de notre temps ». Avec Biophony et SAND, Alonzo King et son Lines Ballet, basé à San Francisco, offrent deux pièces éblouissantes et sophistiquées, inspirées du mouvement des grains de sable et des bruits de la terre… (…) D’une technicité extrême, ses danseurs livrent une danse inventive et sensuelle, nourrie par les inspirations culturelles très diversifiées du chorégraphe. »

© Chris Hardy
« Un Obus dans le cœur » – de Wajdi Mouawad, avec Guillaume Séverac-Schmitz
12 – 16 décembre 2017 aux Bernardines
Monologue
« Un émouvant monologue sculpté de douleur, de ressentiment, d’innocence, de rage, de tendresse écrit par Wajdi Mouawad et interprété par le lumineux Guillaume Séverac. (…) Les mots sont beaux, les mots sont justes, les mots sont bouleversants. Un obus dans le cœur est une œuvre humaniste, une ode à la jeunesse, ses espoirs, son courage et il ne pouvait que séduire Guillaume Séverac, jeune artiste accompagné par Les Théâtres, comme rituel de passage entre une carrière d’acteur et de musicien dans les productions de son maître, Wajdi Mouawad, et son envol vers le métier de metteur en scène. »

© Vincent Schmitz
« La Famille Semianyki retourne le Jeu de Paume »
15 – 23 décembre 2017 au Jeu de Paume
Théâtre Humour / Music-Hall dès 6 ans
« Le Gymnase l’avait accueilli en 2008. Neuf ans après, la famille frapadingue revient, sur la scène du Jeu de Paume cette fois, déchaîner sa folie poétique, sa rage inventive et son humour corrosif. Issu du prestigieux Teatr Licedei, créé par Slava Polunin (du célèbre Slava’s snowshow), les clowns de la famille Semianyki perpétuent cette fabuleuse tradition qu’est le théâtre populaire russe. (…) Il n’y a aucune barrière de langue avec les Semianyki, ils ne prononcent jamais un mot mais on les comprend tout de suite et partout. Entre amour et chaos, on suit les déboires d’une famille russe déjantée dans une maison branquignolesque où l’absurde est roi. On pourrait trouver dans cette famille des ressemblances avec Les Marx Brothers, Charlie Chaplin ou encore la Famille Adams, mais les Semianyki sont uniques et surtout ils sont pires ! »

© Maria Mitrofanova
« Le symphonique » – Jane Birkin & Serge Gainsbourg
15 décembre 2017 au Grand Théâtre
Spectacle musical
« « J’ai pris des chansons de Serge, les idées de Philippe et la magie de Nobu… et aujourd’hui naît Gainsbourg Symphonique ! » Jane Birkin Serge Gainsbourg a puisé sa géniale inspiration dans les oeuvres de Brahms, Chopin ou Rachmaninov. Juste retour des choses, un orchestre symphonique interprète à présent les musiques de ses chansons et Jane Birkin prête sa voix à ses mots. Elle lui rend ainsi le plus beau des hommages et chante, une vingtaine de ses classiques, totalement réorchestrés avec une formidable justesse par le pianiste, arrangeur et compositeur japonais Nobuyuki Nakajima. »
Marcel n’est pas vraiment fan des chansons de Gainsbourg, surtout car il ne les connait que très peu. Il en avait découvert dans le film « Gainsbourg ». Il est curieux d’entendre un orchestre symphonique les reprendre. Il a d’ailleurs entendu pas mal de retours positifs à la radio.

© Carole Bellaiche
« Franito » – Patrice Thibaud, Fran Espinosa, Cédric Diot
Théâtre Humour/Music-hall
19 – 23 décembre 2017 au Gymnase
« Trio magistral et désopilant où se mêlent théâtre, danse et musique, où le burlesque rencontre le flamenco. Une délicieuse sangria à boire en famille. (…) Tout devient cocasse grâce au langage corporel de ce clown-mime qui maintient le public dans un rire permanent. Se dessine sous nos yeux un mélange étonnant entre Fernando Botero, Louis De Funès, Benny Hill et Concha Piquer. Irrésistible tableau. »

© Prisca Briquet
« La Verità » – Compagnia Finzi Pasca
Cirque/Magie
20 – 22 décembre 2017 au Grand Théâtre
« Daniele Finzi Pasca réinvente encore et toujours le cirque poétique à travers cette œuvre hypnotique à la beauté plastique pure avec, en vedette, une toile de Salvador Dalí. Un spectacle hors du commun. (…) Fresque visuelle féerique, faite d’enchaînements acrobatiques, de théâtre fellinien, de machines inédites, aussi rigoureuse techniquement qu’impressionnante esthétiquement, La Verità est un spectacle tissé dans l’étoffe des songes, une ode à la vie et au pouvoir de l’imaginaire. »
Un coup de coeur en perspective !

© Viviana Cangialosi Compagnia Finzi Pasca
« Acting » – Niels Arestrup, Kad Merad, Patrick Bosso
08 – 09 janvier 2018 au Jeu de Paume
Théâtre
« Dans une cellule de prison vétuste, Robert, un acteur condamné pour meurtre, rejoint Gepetto, un petit expert-comptable minable et Horace, un tueur muet et insomniaque. Gepetto a toujours rêvé d’être un acteur. Mais voilà, il n’a aucune qualité pour l’être. Robert, tenté par un pari fou et voulant tuer le temps, décide de faire de lui un grand acteur. (…) Dans cette comédie humaine aux saveurs de tragédie, Xavier Durringer nous parle du paradoxal métier d’acteur, prisonnier du désir des autres, avec sa langue toujours percutante, canaille, populaire et scabreuse, dans la lignée de Frédéric Dard et JP Manchette. »
Programmé l’année dernière, Marcel avait mis ce spectacle dans sa sélection et n’avait pas pu aller le voir. Ce sera l’occasion de se rattraper !

© Pascale Gely
« La Belle au bois dormant » – Yacobson Ballet de Saint-Pétersbourg
Danse dès 7 ans
19 – 20 janvier 2018 au Grand Théâtre
« Le charme et la technique des ballets russes et la musique étincelante de Tchaïkovski… La Belle au bois dormant, créée par Marius Petipa, a traversé les époques. Jean-Guillaume Bart a souhaité revenir aux sources de l’oeuvre tout en offrant une version modernisée. Considérant le ballet comme « une histoire dansée et non un prétexte à danser », il a travaillé sur la psychologie des personnages du conte. »
Un spectacle de danse classique à se mettre sous la dent (de requin), cela ne fait jamais de mal 🙂 Et puis, c’est un classique à voir au moins une fois dans sa vie (ce sera le cas pour le poisson) !.

© Yacobson Ballet
« Bluebird »– Simon Stephens, Claire Devers
23 – 27 janvier 2018 au Gymnase
Théâtre
« Londres, la nuit. Une Nissan Bluebird erre à travers la ville. On s’attend à un thriller. On entre dans une bouleversante histoire d’amour et d’humanité dominée par Gregory Gadebois.
La Nissan est un taxi, Jimmy en est le chauffeur. Ses pérégrinations nocturnes scandent sa vie. Son seul contact avec le monde sont les clients qu’il prend en charge. Tous incarnent une cosmogonie urbaine, à la marge. Les insomniaques, les noctambules, une humanité âpre et douloureuse qui résiste et aspire encore à créer du lien social au milieu de leur tragédie, toujours en quête d’espérance. Le temps d’un trajet, Jimmy libère leurs paroles, calme leurs peurs ou leur désarroi, désamorce leur violence… avant de les laisser, apaisés, continuer sans lui. Réceptacle de toute cette humanité disloquée, Jimmy nous livre quelques bribes de sa propre histoire. Cette nuit-là, lui aussi a entrepris un voyage. Et pour la première fois, se confronte à l’échéance d’une destination. Tous les clients de Jimmy deviennent alors autant d’étapes émotionnelles qui le conduisent vers une personne de son passé qu’il n’a pas revue depuis cinq ans, sa femme Clare. Il a quelque chose à lui dire, quelque chose à lui donner. »

« Solstice » – Blanca Li
02 février 2018 au Grand Théâtre
« Danseuse, chorégraphe, metteur en scène et réalisatrice de films, Blanca Li offre un voyage au coeur de la beauté du monde, de sa force, de son énergie et de sa fragilité… (…) Comme toujours, cette artiste complète attache à la scénographie, à la musique et à la lumière la même attention qu’aux chorégraphies qu’elle travaille avec ses interprètes, dans des échanges constants. (…) La technologie est utilisée pour marquant les soubresauts du temps, les images vidéo accompagnent la danse, ponctuant les transformations parfois brutales infligées par l’humanité à la nature. »
Le poisson ne connait pas le travail de Blanca Li dont il a entendu souvent parler. Ce sera l’occasion de la découvrir !

© JB Mondino
« Le Bac 68 » – Philippe Caubère
06 – 10 février 2018 au Jeu de Paume
Théâtre – Monologue
« En 1968, Ferdinand a 18 ans. Il fait ses débuts au Théâtre d’essai d’Aix-en-Provence. Le spectacle raconte cette France d’alors dans le regard d’un lycéen timide et gauche. 1968, ses pavés et sa révolution, sa lutte de classes et ses utopies. Créé il y a 20 ans, Philippe Caubère réadapte et recompose Le Bac 68, chapitre emblématique de son roman autobiographique. Pivot d’une œuvre théâtrale sans égale, on y retrouve tous les personnages fantasmés de l’acteur. Ferdinand Faure bien sûr l’alter ego, Isabelle la sœur, Gérard Philippe, Malraux, le Général de Gaulle, et puis Claudine la mère, objet de toutes les attentions, celle qui console, punit, s’excuse beaucoup, s’indigne souvent, et nous fait rire, tellement. Grand habitué des spectacles-marathon, Philippe Caubère livre un spectacle plus court que les autres (2h), régénérant, pour les fidèles comme pour les néophytes, l’alliance magistrale entre le théâtre physique et le comique des mots dont on savoure chaque syllabe, chaque accent, chaque intonation. »
Philippe Caubère a reçu le Molière 2017 du Meilleur Comédien dans un spectacle de Théâtre public pour ce spectacle. Retrouvez-le également en mars au Gymnase dans Adieu, Ferdinand !
Marcel n’a encore jamais eu l’occasion de voir sur scène le « grand » Philippe Caubère. Il est donc temps !

© Arnold Jerocki
« Wonderful One » – Abou Lagraa
06 – 10 février 2018 aux Bernardines
Danse
« À travers un duo d’hommes et un trio de femmes, le chorégraphe Abou Lagraa met en scène l’aspiration des êtres à conquérir leur liberté. (…) Sur la scène, deux hommes, puis trois femmes, au-delà des clichés, vont jouer leurs propres partitions. Les premiers se livrent à un duel dont la gestuelle est à la fois féminine et masculine, dans un corps à corps où ils se cherchent, définissent leurs territoires respectifs, se débattent et s’enlacent. Proches de l’état de transe, les corps s’élèvent enfin vers un questionnement spirituel, trouvant une forme de liberté. Les trois danseuses, elles, cherchent à s’extraire d’une société patriarcale pour trouver leur propre manière de vivre et d’être. Enveloppant et accompagnant leur danse, des voix de femmes et des chants populaires napolitains. « Je veux donner à chaque interprète le temps et l’espace d’être merveilleusement en vie », dit le chorégraphe. »
Accueilli en 2013 au GTP lors de Marseille – Capitale Européenne de la Culture, le poisson avait découvert ce chorégraphe. Il avait beaucoup aimé son spectacle. Espérons qu’il reste sur la même note positive ! En tout cas, Marcel est curieux de découvrir ce nouveau spectacle qui a l’air très différent du précédent.

« Oh Boy ! » – Olivier Letellier
21 – 23 février 2018 au Jeu de Paume
Théâtre dès 9 ans
« Suspens, émotion, humour, tendresse, un spectacle qui fait aimer le théâtre aux enfants, réjouit les adultes et continue à hanter la tête bien après la représentation. (…) S’il y avait un palmarès des metteurs en scène pour l’enfance et la jeunesse, Olivier Letellier serait parmi les premiers. Oh Boy tiré du bouleversant roman de Marie-Aude Murail, adapté par Catherine Verlaguet, a obtenu le Molière du meilleur spectacle jeune public lors de sa création et ne quitte plus les scènes depuis, tels les classiques indépassables. »

© Christophe Raynaud de Lage
14 mars 2018 au Grand Théâtre
Jazz/World
« Un électrochoc entre le swing mirifique de David Krakauer et le groove tellurique d’Anakronic pour inventer des lendemains qui dézinguent joyeusement. (…) Cette rencontre du troisième type où l’électro sombre, le groove acide des français viennent caresser les impros lumineuses et le timbre agile de la clarinette, forme sur scène une sorte d’électro-klezmer d’une modernité éclatante. »
En amateur de swing, le poisson est curieux de découvrir ce drôle de mélange.

© Lionel Pesqué
« Carmen(s) » – José Montalvo
16 – 17 mars 2018 au Grand Théâtre
Danse
« Son spectacle n’a pas été créé dans la nostalgie, mais dans l’affirmation de ses engagements et de son attachement pour la pasionaria mythique. Femme rebelle, féministe avant l’heure, Carmen porte aussi avec elle l’idée d’un monde « sans frontière, un monde libre » pour José Montalvo. Fidèle à la partition de Bizet, le chorégraphe s’inspire de « sa profondeur sensuelle , sa drôlerie, sa légèreté tragique » pour nous livrer une version où la présence de l’héroïne irradie le jeu de tous les interprètes. Tellement présente qu’elle est plusieurs, interprétée par des danseuses différentes tout au long du spectacle. »

© Patrick Berger
« Spellbound » – Trilok Gurtu Quartet
20 mars 2018 au Gymnase
Jazz/World
« La plus grande figure du jazz world-fusion, immense percussionniste bombayite, Trilok Gurtu vient en quartet au Gymnase et revient en trio en mai au Grand Théâtre. (…) Avec son «Spellbound» quartet, il mêle groove oriental, jazz, funk et musique afro cubaine, joue des compositions originales, toujours très métissées, aux milles couleurs et adapte dans le même esprit le répertoire de Dizzy Gillespie, Miles Davis et Don Cherry. Entouré de tablâs, de cymbales et de tambours occidentaux, une palette instrumentale internationale, Trilok Gurtu habite la scène et envoûte bel et bien – Spellbound signifie en anglais « envoûté » – son public. »
Un percussionniste, cela ne peut qu’attirer le poisson dans ses filets, ancien musicien amateur lui-même (qui n’a pas dit son dernier mot ! ha ha) !

© Madhur Shroff
« La Vie » (Titre provisoire) – de et avec François Morel
Jazz/World
23 – 24 mars 2018 au Grand Théâtre
« Dans un hommage facétieux au music-hall, François Morel chante et ré-enchante des instants de vie comme autant de bonnes raisons de se réconcilier avec l’existence. (…) Un spectacle musical écrit suite aux événements qui ont frappé la France ces dernières années. Dès le titre, clin d’œil railleur mais bel et bien définitif, on devine le ton joyeux et mutin de ce tour de chant entre mélancolie et fantaisie qui fait la part belle à la vie. Mis en scène par la chanteuse Juliette et en musique par son complice Antoine Sahler, le concert évoque des tranches de vie à travers des chansons, drôles, tendres, impertinentes. »
François Morel, le poisson l’aime sur scène comme comédien et narrateur et l’adore comme chroniqueur sur France Inter. Mais il ne connait pas le François Morel chanteur. Il est curieux de découvrir tout en ayant peur de la déception, qu’il tombe de son piédestal. Mais c’est un risque à prendre pour Marcel.

© Christophe Manquillet
23 – 24 mars 2018 au Gymnase
Seul en scène – Humour
« Dans son troisième spectacle, il raconte ses dix ans sur les planches, dix ans de succès qui entérinent ce choix judicieux d’avoir arrêté sa carrière de financier à New-York pour se consacrer à la comédie. Dans ce one-man-show entre sketches et stand-up, il campe une incroyable galerie de personnages qu’on croirait tout droit sortis d’une comédie italienne des années 1970. (…) Affable et bienveillant, il écorche ses parents, les végans, les normands, les pulls jacquard, souvent en s’adressant directement au public, pour nouer avec lui une grande complicité et qu’il finit par faire chanter. Dans un grand éclat de rire. »
Marcel connaît et apprécie François-Xavier Demaison comédien mais l’aimera-t-il en humoriste ? Verdict en mars 2018 !

© Jean-Baptiste Mondino
« Adieu, Ferdinand ! » – Philippe Caubère
27 mars – 07 avril 2018 au Gymnase
Théâtre – Monologue
« Ultime rendez-vous avec l’auteur-acteur-metteur-en-scène pour le dernier chapitre en date de son récit autobiographique, créé fin 2017. Que l’on se rassure tout de suite, il ne s’agit en rien d’un adieu à la scène comme pourraient le claironner certains artistes du music-hall en mal de remplissage de salle, mais bien d’un adieu à son double fictif, cet anti-héros fantasmé qui ne vieillit jamais, Ferdinand l’adolescent magnifique. (…) L’on ne vient pas « assister » à un spectacle de Philippe Caubère, on vit un spectacle de Philippe Caubère. Une expérience physique qui va bien au-delà de ce que l’on a l’habitude de voir au théâtre. Un seul en scène pour un acteur total, une vie au service d’une œuvre testamentaire. Ou quand l’intime devient universel. Caubère nous promet un bouquet final sous forme de feu d’artifice, du (grand) rire aux (chaudes) larmes. »

© Gilles Vidal
« Trois sacres » – Sylvain Groud, Bérénice Bejo
10 – 14 avril 2018 aux Bernardines
Danse
« Fruit d’une belle rencontre entre une actrice, Bérénice Bejo, un chorégraphe et danseur contemporain, Sylvain Groud, et des textes qui parlent de désir brut, d’amour et des traces qu’il laisse. Un duo magnifique d’une intensité rare.
Trois Sacres, trois états pulsionnels de l’amour. L’attraction irrépressible, incontrôlée, le côte-à côte intime et l’union fusionnelle. Sur la scène, un homme, Sylvain Groud danse les formes du désir mystérieux tandis que Bérénice Bejo dit des textes évoquant les vertiges de l’amour (…). La comédienne rejoint Sylvain Groud pour danser avec lui les états de l’amour, dans des duos sensuels accompagnés par Le Sacre du Printemps, d’Igor Stravinski. La fragilité et la grâce des premiers de danse de Bérénice Bejo, émouvants et convaincants, s’accordent avec élégance et émotion à l’expression artistique si particulière du danseur et chorégraphe. »

Trois Sacres – © DR
Le Corps du Ballet National de Marseille – Emio Greco, Pieter C. Scholten
14 avril 2018 au Grand Théâtre
Danse
« Vingt-trois danseurs pour une oeuvre puissante qui marque le renouveau du Ballet National de Marseille, conduit par Emio Greco et Pieter C. Scholten depuis 2014. C’est à la fois à un recommencement et une réinvention que vous convient Greco et Sholten, dans une création qui célèbre les corps, dans leur individualité, et le corps de ballet, dans sa cohérence d’ensemble. Gardant la marque, dans l’identité du ballet qu’ils s’attachent à forger, de l’inventivité de son fondateur, Roland Petit, ils parviennent à mettre en valeur la personnalité artistique de chaque danseur. Mais l’ensemble fait « tribu », dont les membres, unis avec leurs différences, forment parfois comme un seul corps. Un moment fort et émouvant, qui donne une vision totalement nouvelle du ballet classique. »

© Alwin Poiana
« Tristesses » – Anne-Cécile Vandalem
18 – 20 avril 2018 au Gymnase
Théâtre
« Incontestable révélation du Festival d’Avignon en 2016, la belge Anne-Cécile Vadalem réinvente le polar, entre rires et tristesses, hanté par la montée de l’extrême droite. (…) Anne-Cécile Vandalem sait doser avec minutie l’art du récit, les effets du cinéma, de la série télé, du théâtre, de la satire, du conte, de l’intrigue, aidée par la virtuosité des comédiens qui alternent jeu cinéma et jeu théâtre. »

© Phile Deprez
« Rice » – Cloud Gate Dance Theatre of Taiwan
5 – 16 mai 2018 au Grand Théâtre
Danse
« Le Cloud Gate Dance Theater vient de Taïwan pour nous transporter au coeur d’une rizière chinoise… Un voyage à nul autre pareil dans une Asie magnifiée, proposé par Lin Hwaï-min, chorégraphe internationalement reconnu. (…) Fasciné par les immenses vagues de grain au milieu d’immenses rizières, il décide d’en faire la source d’un spectacle fondé sur le cycle de la vie du riz… Jusqu’au-boutiste, il convie ses 24 danseurs au coeur de la rizière, qui vont participer aux récoltes avec les paysans. S’imprégnant de l’univers des villageois, de cette expérience dans les champs, le chorégraphe crée des mouvements exubérants et puissants, figurant la place des éléments dans la vie du riz. La terre, le vent, l’eau et le feu sont successivement représentés dans une chorégraphie influencée par les arts martiaux, que les danseurs pratiquent. Le public est lui-même en immersion dans cet univers végétal, constamment baigné par les images vidéo de reflets de nuages sur l’eau, de riz battu par le vent, et de feu ravageant les champs après la récolte, en symbiose avec une chorégraphie d’un grand raffinement. »

© LIU Chen-hsiang
« Les Parisiens » – Olivier Py
26 – 27 mai 2018 au Gymnase
Théâtre
« Le monde entier est peut-être un théâtre, et Paris son avant-scène… Olivier Py peint une fresque portée par le souffle poétique et corrosif de son écriture, dévoilant un monde grimaçant, impitoyable et ridicule, sublime et impuissant. Un spectacle à prendre comme un voyage. »
Cela fait longtemps que le poisson n’a pas vu de spectacle du directeur du Festival d’Avignon. Le décor monumental est un des aspects qui l’intéresse et l’interpelle.

Il y aura également de beaux concerts classiques (Ophélie Gaillard, les frères Capuçon, Jaroussky, …) mais le poisson a fait le choix de tourner sa sélection essentiellement vers la danse et le théâtre pour ne pas vous noyer dans cet océan de propositions 😉
Quelle belle programmation !!! le choix va être difficile ! Beaucoup de choix communs 😉 Gaspard Proust, Angelin Preljocaj, Jane Birkin, La famille Semianyky, La vérita, Le Bac 68, Carmen…bien évidemment Wonderfull one d’Abou Lagraa, Blanca LI aussi j’ai déjà vu sur scène et j’adore son univers
J’ajouterai les incroyables concerts classiques Renaud et Gauthier Capuçon, Jaroussky, Ophélie Gaillard…..et surtout la merveilleuse Khatia Buniatishvili ❤
Voilà de quoi passer de super bons moments 🙂
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J’ai en effet tourné ma sélection davantage vers le théâtre et la danse mais c’est vrai qu’il y aura des beaux concerts classiques également (mais je ne m’en serai pas sortie, trop de belles propositions qui font tourner la tête 😉 )
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Merci pour cette évocation des programmes. Ici à Toulon, nous avons un merveilleux théâtre, le Liberté, scène nationale,nous sommes tous conviés pour la présentation du « menu 2017/18 » le 1er juin place d la Liberté, c’est très éclectique et très original, beauoup de convivialité avec en plus les « billets suspendus » offerts à ceux qui ne peuvent contribuer financièrement à un abonnement. Et puis Châteauvallon où je vais moins mais qui a beaucoup d’abonnés.
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Merci pour le partage de votre expérience 🙂 Certains spectacles seront probablement également programmés au Théâtre Liberté (notamment celui avec Charles Berling). C’est souvent le cas. Je n’ai jamais eu l’occasion d’aller dans ce théâtre et à Châteauvallon mais j’en entends beaucoup parler.
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