Le poisson Marcel a lu cet été « Le vieux qui ne voulait pas fêter son anniversaire » de Jonas Jonasson, un roman plein d’humour balayant l’Histoire géo-politique du siècle dernier.
L’agité du bocal débarque bien après tout le monde (oui oui mais mieux vaut tard que jamais, non ?) puisque ce roman suédois est publié depuis 2009 et il paraît qu’une adaptation en film est même sortie. D’ailleurs, si vous l’avez vue, n’hésitez pas à lui dire en commentaires.
L’histoire
« Alors que tous dans la maison de retraite s’apprêtent à célébrer dignement son centième anniversaire, Allan Karlsson, qui déteste ce genre de pince-fesses, décide de fuguer. Chaussé de ses plus belles charentaises, il saute par la fenêtre de sa chambre et prend ses jambes à son cou. Débutent alors une improbable cavale à travers la Suède et un voyage décoiffant au cœur de l’histoire du XXe siècle. Car méfiez-vous des apparences ! Derrière ce frêle vieillard en pantoufles se cache un artificier de génie qui a eu la bonne idée de naître au début d’un siècle sanguinaire. Grâce à son talent pour les explosifs, et avec quelques coups de pouce du destin, Allan Karlsson, individu lambda, apolitique et inculte, s’est ainsi retrouvé mêlé à presque cent ans d’événements majeurs aux côtés des grands de ce monde, de Franco à Staline en passant par Truman et Mao… »
L’avis de Marcel
Ce roman est frais et drôle voire même assez déjanté parfois. On se prend d’affection pour ce centenaire qui rencontre des personnages décalés et attachants tout au long de sa fugue. Entre deux épisodes de sa cavale, il raconte sa vie à travers ses nombreuses pérégrinations et aventures rocambolesques, croisant des hommes politiques qui ont marqué l’Histoire du XXème siècle. Marcel a aimé ce « roman dans le roman » qui retrace quelques périodes historiques qui sont réelles mais édulcorées à la sauce de l’auteur.
Bref, si vous ne l’avez pas encore lu, ce livre est idéal pour entamer l’Automne en douceur. Le poisson vous le conseille !
Pingback: « Le fabuleux destin d’une vache qui ne voulait pas finir en steak haché | «Un poisson nommé Marcel